L’étude Parchemins esquisse l’impact de la régularisation sur la vie des personnes ayant pris part à l’opération Papyrus. Une population qui, malgré les avancées, reste précaire.
Une étude révèle que si elle a permis à de nombreuses personnes sans-papiers de sortir de l’ombre, l’opération de régularisation ne les a pas extraites de la pauvreté.
Des avocats genevois demandent plusieurs milliers de francs pour faire une demande de régularisation, alors même que les associations de défense des étrangers le font gratuitement.