Livres «Beaucoup d’écrivains et de poètes sont restés en Syrie» FESTIVAL LAYALINA • Interprète de profession, Claude Krul a appris l’arabe à Damas, au contact des poètes syriens, avant de les traduire. Rencontre. jeudi 19 février 2015 Maxime Maillard Le prix de la traduction a été décerné à titre posthume à Claude Krul. MAXIME MAILLARD Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste