Scène

Le train ne sifflera qu’une fois

SCENE Sous l’œil d’une caméra, «Kiss & Cry» se bricole et se danse ingénieusement du bout des doigts. Un scénario en minuscule dont l’esthétique, entre onirisme et réalisme, condense l’immensité du souvenir amoureux.
Photo. Kiss & Cry MARTEEN VANDEN ABEELE

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