A l’instar des principautés pétrolières du Golfe, l’Arabie saoudite ne perçoit plus Israël comme l’ennemi N°1 du monde arabe, mais comme un allié potentiel.
Le risque de débordements a été sous-estimé lors de la manif sauvage du 19 décembre, d’où des policiers en sous-nombre. En quoi une répression accrue changerait-elle la donne?