«On ne peut pas décider de brûler des livres»
A Genève, l’Orangerie honore les grandes œuvres classiques et les textes contemporains. Entretien avec son directeur Valentin Rossier.
Théâtre de l'Orangerie
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Accès 1 jour
3.-